Accusée par l’ONU, La Caisse se défend d’encourager des crimes internationaux

  • Le 3 juillet, La Caisse (anciennement CDPQ) a rejeté les allégations formulées dans le rapport de la Rapporteuse spéciale de l’ONU, Francesca Albanese, sur son implication indirecte dans des crimes internationaux.

  • Elle précise que ses investissements dans les entreprises visées (comme Airbnb ou Google) sont marginaux et souvent gérés par des intermédiaires.

  • La Caisse affirme avoir cessé tout nouvel engagement en Israël et dans les territoires palestiniens, et se dit conforme aux normes canadiennes et internationales.

  • Elle recourt à Federated Hermès pour influencer les pratiques de gouvernance des entreprises où elle détient peu d’influence directe.

Avec les informations de la Caisse
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