Soutenu par Pékin, Poutine relance l’offensive en Ukraine après un sommet avec Xi et Kim
Le 8 septembre, la Russie a frappé un bâtiment gouvernemental à Kyiv, lors de son plus important raid aérien depuis le début de la guerre, marquant une escalade symbolique du conflit.
Cette attaque survient au retour de Vladimir Poutine d’un sommet à Pékin avec Xi Jinping et Kim Jong-un, où il a salué des relations sino-russes à un « niveau sans précédent ».
La Chine, bien que non impliquée militairement, soutient Moscou sur le plan diplomatique et économique, notamment via le projet de gazoduc Force de Sibérie 2 et l’accès aux marchés financiers chinois.
Poutine, conforté par ces alliances, a affirmé que l’ordre mondial devenait « multipolaire », excluant toute issue négociée avec l’Ukraine hors de ses conditions.
L’Occident, inquiet, promet de nouvelles sanctions, mais le Kremlin reste inflexible.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a averti que les ambitions impérialistes de Poutine ne s’arrêteraient pas à l’Ukraine.
Avec des informations de The Times